"Il était une fois la Révolution" fait partie de la trilogie des "Il était une fois...". Sergio Leone était affectivement très attaché à celui-ci. Il défend des thèmes universels : la liberté, la révolution, l'amitié, l'héroïsme...le lyrisme, l'humour, la satire, et l'épique sont contenus dans cette oeuvre cinématographique qui clôt le chapitre du western léonien.

 "L'enfant terrible", voilà comment on nomme Médéric Collignon. Ce qui impressionne d'abord chez lui, c'est son énergie...une masse d'énergie qui semble inépuisable. Il suffit de l'avoir vu en concert ou d'avoir écouté un de ses albums pour le savoir. Il emmène ici une formation é-clectrique, le "SEPTIK"!

 Ce dernier rejoue la musique du compositeur Ennio Morricone, entre partitions arrangées et improvisations, avec un tempérament parfois post-punk-rock, en tentant de reproduire les multiples explosions du film (désirées par le réalisateur!) ou les mélodies les plus délicates du cinéma.